La porte de la chambre fermée à clef "de l'intérieur", les volets de l'unique fenêtre fermés, eux aussi, "de l'intérieur", pas de cheminée... Qui a tenté de tuer Mlle Stangerson et, surtout, par où l'assassin a-t-il pu fuir de la chambre jaune ? C'est le jeune reporter Rouletabille, limier (détective) surdoué et raisonnant par "le bon bout de la raison (réussir une mission) , ce bon bout que l'on reconnaît à ce que rien ne peut le faire craquer"(céder), qui va trouver la solution de cet affolant (très inquiétant) problème, au terme d'une enquête fertile en aventures et en rebondissements (imprévus).
Qui a tenté d'assassiner Mathilde Stangerson pendant son sommeil, dans la chambre jaune du château du Glandier ? Mais surtout, comment le malfaiteur s'est-il échappé de cette pièce aux volets clos, fermée à clé de l'intérieur et dépourvue de cheminée ? Seul indice : l'empreinte sanglante laissée sur un mur... Telle est l'énigme soumise à l'astuce du jeune Rouletabille, reporter au journal L'Epoque au château, qui à l'aide d'un mystérieux mot de passe.
L'y attendent le père de Mathilde, scientifique en quête des secrets de la matière, et le célèbre détective Larsan dont les soupçons se portent très vite sur Darzac, le fiancé de Mathilde. Mais l'ingénieux Rouletabille, raisonnant " par. le bon bout de la raison", a des doutes... En donnant vie au truculent personnage de Rouletabille. concurrent français de Sherlock Holmes et d'Hercule Poirot, Gaston Leroux invente une forme de casse-tête policier mêlant l'humour, la logique et la fantaisie...
L'y attendent le père de Mathilde, scientifique en quête des secrets de la matière, et le célèbre détective Larsan dont les soupçons se portent très vite sur Darzac, le fiancé de Mathilde. Mais l'ingénieux Rouletabille, raisonnant " par. le bon bout de la raison", a des doutes... En donnant vie au truculent personnage de Rouletabille. concurrent français de Sherlock Holmes et d'Hercule Poirot, Gaston Leroux invente une forme de casse-tête policier mêlant l'humour, la logique et la fantaisie...
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